Face à une difficulté d’ordre professionnel, il est préférable d’être bien conseillé le plus vite possible pour éviter de commettre des erreurs qui pourraient vous porter préjudice.
Le cabinet vous assiste en cas de contestation de votre licenciement, si vous réclamez des heures supplémentaires, si vous souhaitez négocier votre départ ou proposer une rupture conventionnelle à votre employeur.
Le cabinet va vous donner des conseils qui vont vous permettre :
- de connaître vos droits et de ne pas vous maintenir dans un comportement pouvant être qualifié de fautif,
- de ne pas signer un avenant qui serait préjudiciable à vos intérêts,
- d’être conseillé dans toutes les étapes de la rupture conventionnelle du contrat de travail,
- d’être assisté dans le cadre de la conclusion d’un protocole d’accord transactionnel,
- de connaître les modes de preuve que l’on peut produire en justice,
- si vous pensez être victime de harcèlement moral au travail, la protection et la santé morale du salarié est une obligation pour l’employeur qui ne peut rester passif dans votre situation,
- vous pensez que vous êtes contraint de démissionner en raison du non respect de ses obligations par l’employeur : il faut demander préalablement conseil à un avocat pour ne pas perdre vos droits,
- si vous avez des difficultés sur le paiement de primes, en cas d’inaptitude physique au travail ou d’accident du travail,
- vous avez été licencié et vous contestez les motifs, votre employeur sera tenu de vous indemniser suite au préjudice subi
- vous avez été victime d’un accident du travail et vous souhaitez faire reconnaître la faute inexcusable de votre employeur.
Lorsqu’aucune issue amiable n’a pu aboutir, le litige est alors porté devant le conseil de prud’hommes.
Le cabinet vous assiste dans cette procédure qui comprend deux phases :
- une audience de conciliation fixée en général trois mois après le dépôt de la demande et au cours de laquelle des demandes provisionnelles peuvent être formulées,
- et une audience de jugement au cours de laquelle le dossier est plaidé.
En cas d’urgence lié au non paiement des salaires, des congés payés ou de primes, la juridiction des référés peut être saisie.